à Santenay, chez Jean-Marc VINCENT : l’esprit en perpétuel mouvement.
Un journaliste anglais avait écrit un jour : « life is too short to drink Santenay ». Laissons à cet enfant mal élevé de la perfide Albion la totale responsabilité de ses propos. Santenay a des terroirs sublimes qu’il suffit de savoir glorifier avec talent. Après le portrait d’Antoine OLIVIER, je vous emmène auprès d’un autre immense talent de ce village du sud de la côte de Beaune.
Jean-Marc VINCENT, la quarantaine, a repris le domaine il y a 17 ans maintenant… » le domaine était en sommeil depuis 30 ans. Je suis né quand mon grand-père prenait sa retraite. Les vignes étaient louées. C’est par affection pour mon grand-père que je suis devenu vigneron. J’aime ce côté artisan » me dit Jean-Marc avec cette émotion qui lui appartient. Dans le discours déjà, il est clair que l’affectif compte chez lui.